Un nouveau bureau pour ingéChef.

Asso bureau

Le Président Guillaume LANFRANCHI, le secrétaire Marie Bonfils, le trésorier Gaétan LEPETIT ainsi que les membres du bureau Pierre JunkerEmeline LafauryBrigitte LegatJonathan Naas et Hélène Tottoli ont été élus lors de l’Assemblé Générale du 18 juin et du Bureau du 22 juin 2020.

Un grand #merci au bureau sortant qui a agi pendant un an pour valoriser les ingénieurs en chef et participer activement à promouvoir cette association.

Le nouveau bureau souhaite construire une association participative, ouverte et solidaire dans le prolongement du travail effectué par les deux premières promotions.

Plusieurs actions sont d’ores et déjà engagées comme :
– l’établissement d’un annuaire et de supports de communication pour #valoriser nos actions ;
– la création de partenariats pour constituer un réseau #collaboratif et dynamique au travers de différents publications et témoignages par exemple ;
– l’accompagnement des candidats aux concours pour #transmettre nos expériences respectives.

Découvrir notre ambitieuse feuille de route et nos actions.

De nombreux projets nous attendent et seront à découvrir très prochainement !

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Les concours interne et externe

Organisés par le CNFPT, les concours interne et externe d’ingénieur en chef ont généralement lieu annuellement. Ils sont composés de trois épreuves écrites d’admissibilité et de deux ou trois épreuves orales d’admission.

En savoir plus sur les concours d’ingénieurs en chef territoriaux : https://www.cnfpt.fr/evoluer/preparation-aux-concours-concours-examens-professionnels/decouvrir-differents-types-concours-examens-professionnels/concours-dingenieur-ou-ingenieure-chef-territorial/national

Une préparation aux épreuves d’admissibilité est proposée pour le concours interne par le CNFPT entre février et juillet de l’année du concours. Attention l’inscription à la préparation est conditionnée par la réussite à un test qui a généralement lieu en septembre de l’année précédente. Il est recommandé de surveiller les dates limites d’inscription à cette préparation mais aussi au concours. En cas d’admissibilité, une préparation aux épreuves orales d’admission est également proposée par le CNFPT.

Une nouvelle préparation aux épreuves d’admissibilité puis d’admission est désormais proposée par l’E.N.G.E.E.S. aux futurs candidats du concours externe en partenariat avec le CNFPT et l’Association IngéChef : https://engees.unistra.fr/formations/formation-professionnelle-continue/sessionscourtesqualifiantes/formations-a-distance/ass4012-smart-water-management-33-specifique-assainissement-1

Interne ou externe, depuis sa création, l’association IngéChef vous accompagne dans votre préparation aux épreuves orales d’admission. Pour en savoir plus : Dispositif d’accompagnement des admissibles

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Choisir entre concours interne, concours externe et examen pro

Les principales différences entre le concours et l’examen professionnel pour accéder au cadre d’emploi des ingénieurs en chef sont d’une part les conditions d’accès et d’autres part les épreuves dont la pondération diffère entre les deux types de concours

Lorsqu’on s’inscrit au concours d’ingénieur en chef, il faut bien avoir en tête que la réussite au concours sera suivie d’une année de scolarité à l’institut national des études territoriales (INET) situé à Strasbourg. Durant cette période, il faudra s’organiser entre le lieu de vie de famille, le lieu d’étude mais également les lieux de st.ages qui représentent un peu plus d’un tiers de la scolarité.

De plus, la période de scolarité, même si elle est rémunérée et qu’une indemnité de maintien de salaire pour les agents publics avant la formation a été mise en place en février 2021, suppose a minima des frais supplémentaires notamment pour l’hébergement et les transports vers et à Strasbourg. Ces frais peuvent représenter un montant significatif. Ainsi, comme dans tout projet, il est conseillé de faire des simulations pour vérifier la soutenabilité du projet pour ses finances personnelles.

L’examen professionnel ne suppose pas de suivre une année de scolarité car ses épreuves (la rédaction d’un dossier d’expérience professionnelle et un entretien) ont pour objectif d’identifier les candidats qui exercent déjà des missions d’ingénieurs en chef sans en avoir le grade. En cas de réussite à l’examen professionnel, si le candidat n’exerce pas dans une collectivité ou un établissement public éligible (ex communes de plus de 40 000 habitants), une mobilité professionnelle sera nécessaire pour pouvoir bénéficier de la promotion en tant qu’ingénieur en chef. Il est recommandé d’y réfléchir avant son inscription à l’examen professionnel.

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Cadre d’emploi des ingénieur.e.s en chef territoriaux

Qui sont les ingénieurs en chef territoriaux ?

  • Des cadres supérieurs de la filière technique : les ingénieurs en chef territoriaux détiennent les grades les plus élevés de la filière technique de la Fonction Publique Territoriale (FPT). Ce nouveau cadre d’emploi, créé en 2016, regroupe des cadres dirigeants avec de fortes capacités managériales, une culture technique ainsi qu’une capacité à innover.
  • Des cadres dirigeants des grandes collectivités : ils exercent leurs fonctions au sein des grandes collectivités (ville de plus de 40 000 habitants, département, région, structure intercommunale…) soit directement au sein de la direction générale, soit sur des politiques sectorielles.
  •  Des haut-fonctionnaires : les ingénieurs en chef reçoivent une formation d’excellence, entre apports théoriques et missions de terrain. Ce cursus professionnalisant est dispensé par l’Institut national des études territoriales (INET) de Strasbourg, en inter-filière avec les autres cadres dirigeants territoriaux : administrateurs et conservateurs et en cohérence avec les autres grandes écoles de la fonction publique française.

Quelles sont leurs plus-values au sein des directions générales ?

  •  Leur complémentarité : ils diversifient et enrichissent les équipes de direction en complémentarité des autres cadres dirigeants à culture administrative ou culturelle.
  •  Une approche experte au sein de la direction générale : dans les collectifs de direction, ils marquent leur attachement à une approche scientifique rigoureuse et à une expertise de terrain pour accompagner la réflexion politique.

Des atouts pour accompagner les transformations sociétales…et pour construire l’action publique de demain : les ingénieurs en chefs participent avec engagement à la transformation de nos territoires. Sous l’autorité des élus, ils expérimentent, conçoivent et adaptent durablement les organisations et les politiques publiques pour répondre aux enjeux des transitions sociales, environnementales et économiques.


Plus de 3600 ingénieurs en chef territoriaux au sein des collectivités locales

47% des cadres dirigeants sont des ingénieurs en chef

13% des postes de DGS sont occupés par des ingénieurs en chef

Près de 30 ingénieurs en chef territoriaux sont formés chaque année à l’INET


En savoir plus :

https://www.lagazettedescommunes.com/531572/ingenieur-en-chef-territorial-metiers-recrutement-carriere-salaire/

http://www.cnfpt.fr/evoluer/concours-examens-professionnels-organises-cnfpt/concours-dingenieure-chef-territoriale/cadre-demplois-ingenieure-chef/national

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Rachel Carson : un nom de promotion engagé

L’obligation de subir nous

donne le droit de savoir.

Rachel Carson : un nom de promotion engagé en faveur de la transformation écologique des territoires pour les ingénieurs en chef territoriaux.

Les Elèves Ingénieures et Ingénieurs en chef Territoriaux ont choisi de mettre à l’honneur cette biologiste marine et écologiste américaine décédée en 1964. Elle a notamment publié “Cette mer qui nous entoure” et son best-seller “Printemps silencieux”. Ce dernier ouvrage déclencha un renversement dans la politique américaine envers les biocides, conduisant à une interdiction nationale de certains pesticides pour leurs ravages sur les insectes et les oiseaux.

Les futurs ingénieurs en chef souhaitent, par ce choix, rendre hommage à une grande femme qui a su, par ses convictions et son travail, mener un combat concret en faveur de la protection de l’environnement et de la santé de ses concitoyens.

Ce choix reflète leur envie de participer, avec engagement, à la transformation et à la transition écologique de nos territoires. Au sein des directions générales, ils marquent leur attachement à une approche scientifique rigoureuse et à une expertise de terrain pour accompagner la réflexion politique et construire l’action publique de demain.

Consulter leurs profils : https://bit.ly/2ZeNdQ9

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L’examen professionnel

L’examen professionnel permet aux agents assumant des fonctions d’ingénieur en chef sans en avoir le grade de faire reconnaître leur expérience. A l’issu d’une épreuve écrite consistant en la remise d’un dossier professionnel et d’une épreuve d’entretien avec un jury, le lauréat de l’examen professionnel pourra intégrer le cadre d’emploi des Ingénieurs en chef sans avoir à passer le concours et l’année de formation à l’INET. Toutefois, pour être nommé dans le cadre d’emploi des ingénieurs en chef, l’employeur doit pouvoir embaucher des ingénieurs en chef (commune de plus de 40 000 habitants, etc) et le poste doit être créé ou modifié pour pouvoir être occupé un ingénieur en chef.

en savoir plus :

https://www.cnfpt.fr/evoluer/preparation-aux-concours-concours-examens-professionnels/decouvrir-differents-types-concours-examens-professionnels/lexamen-professionnel-dingenieur-ou-ingenieure-territorial-chefreporte/national?geoloc=true

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Après la crise du Covid-19, ne cherchons pas un retour à la normale

Article publié par notre partenaire Weka

Après la crise du Covid-19, ne cherchons pas un retour à la normale

Crédit photo : Folco Laverdière (élève ingénieur en chef territorial de la promotion Rachel Carson)

Cette tribune fait partie d’une série de contributions de la troisième promotion des élèves ingénieurs en chef territoriaux, futurs cadres dirigeants des collectivités locales, à la réflexion prospective post-crise du Covid-19, et qui feront chacune un focus sur un sujet particulier.

Ne cherchons pas un retour à la normale : il ne peut pas et ne doit pas y en avoir

En chinois, le mot “crise” s’écrit 危机 (wēijī), combinaison de “danger” ( 危 ) et d’“opportunité” ( 机 ). L’opportunité que nous offre cette crise, c’est de préparer le monde de demain. Un monde qui aura lui aussi sa normalité, mais une normalité nouvelle et différente de la précédente.

Souhaiter le “retour à la normale” d’avant, ce serait manquer cette opportunité. Ce serait renoncer à la chance d’anticiper l’inéluctable transformation de nos sociétés ; ce serait lui préférer l’illusion que nous pourrions revenir en arrière… jusqu’à la prochaine crise, car soigner les symptômes n’élimine pas les causes. Ce serait préférer le danger.

Si nous ne changeons pas, cette crise n’aura été que l’annonce de celles qui la suivront, plus graves. Un coup de semonce que nous aurons ignoré. Nous nous sommes déjà trop entêtés à ignorer les avertissements précédents : autres épidémies, crises financières, impacts du dérèglement climatique contre lequel nous étions pourtant avertis depuis plus d’un demi-siècle.https://b8e8872c459aedae1f09dd0ef451170a.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-37/html/container.html

Les secousses que ces crises avaient fait subir à nos sociétés n’avaient pas réussi à nous réveiller, à nous sortir de notre léthargie. Sans action de notre part, ces crises nous imposeront leur nouvelle normalité, sûrement plus désagréable. Pour ne pas subir demain, il nous faut choisir et agir aujourd’hui.

Il nous faut changer le logiciel avec lequel nous concevons nos sociétés. Lorsque les pannes de notre véhicule se rapprochent en fréquence et gagnent en gravité, même si nous arrivons encore à le dépanner au bord de la route après 1 heure les mains dans le cambouis, ne jugeons-nous pas qu’il est temps de faire les travaux qui s’imposent ou de le changer ? Ou attendons-nous encore et encore la prochaine panne pour comprendre ? N’attendons pas plus. Cela fait déjà trop de décennies que nous nous atermoyons.

Ce changement, qu’il soit voulu ou subi, sera multi-échelle, de l’individu aux grands ensembles internationaux. Au milieu de cette échelle, les collectivités territoriales doivent elles aussi accélérer leur mutation, et ce de manière d’autant plus impérieuse qu’elles correspondent aux bassins de vie de nos citoyens, à un nombre important de services essentiels, dont un effondrement même temporaire ne serait pas une option acceptable, que leur résilience est un impératif.

Le confinement était propice à l’introspection et la rêverie et nous avons rêvé le monde de demain. Mais les rêves échappent rapidement à notre mémoire une fois réveillés et alors que le quotidien absorbe notre attention. Pour ne pas en perdre la mémoire, il nous faut les coucher sur le papier. C’est ce qu’il nous faut faire maintenant : noter nos rêves, mais aussi approfondir les idées qu’ils contiennent pour qu’ils deviennent actions maintenant que la chape du confinement qui contenait nos énergies se lève.

Cette pandémie a illustré que ces défis ne nous attendent déjà plus et qu’ils ne peuvent être surmontés sans le pragmatisme de “ceux qui font” ; que face à eux, nos sociétés tiennent “ensemble”, et non pas en laissant certains pour compte.

Ami lecteur de cet article, emporte avec toi cette citation qui résume l’attitude nécessaire : “Les pieds sur terre, le cœur avec les hommes, la tête dans les étoiles.”

Manfred Amoureux, ancien élève ingénieur en chef de la promotion Wangari Muta Maathai

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Carine Marty parle de gestion de l’imprévu, adaptabilité, capacité à travailler autrement durant la crise sanitaire

carine

Durant la crise sanitaire, Carine Marty, qui a contribué à l’action du département des Hautes-Pyrénées, intervient sur les questions de gestion de l’imprévu, adaptabilité, capacité à travailler autrement 

https://www.acteurspublics.fr/webtv/emissions/2-pour-lapres/les-collectivites-ont-amorce-leur-metamorphose

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Laurent Décamps sur les questions de gestion de l’imprévu, adaptabilité, capacité à travailler autrement durant la crise sanitaire

Ecoutez Laurent Décamps, élève ingénieur en chef de la promotion Rachel Carson.

laurent
Laurent Décamps

Durant la crise sanitaire, Laurent Décamps, qui est contribué à l’action du département du Gard, intervient sur les questions de gestion de l’imprévu, adaptabilité, capacité à travailler autrement 

https://www.acteurspublics.fr/webtv/emissions/2-pour-lapres/le-secteur-public-de-lapres-crise-sera-celui-de-lagilite-des-territoires-1

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Nos actions

  • Publications (presse papier, numérique, réseaux sociaux …),
  • Colloques, journées d’études
  • Interventions auprès des employeurs des ingénieurs en chef territoriaux ou de leurs représentants institutionnels
  • Tout action permettant d’accompagner les personnes en situation de préparation des épreuves écrites ou des orales des concours et examen pro d’ingénieur en chef.
  • Tout action entrant dans le cadre des statuts de l’association
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Accompagnement des candidats admissibles

Depuis deux ans, l’association accompagne les admissibles au concours d’ingénieur en chef. L’année 2020 n’a pas dérogé à la règle. Cette initiative, basée exclusivement sur le volontariat a mobilisé 30 membres de l’association (toutes promotions confondues) qui ont apporté leur soutien et leur expérience à 49 candidats (sur 53 admissibles). A noter : 100 % des externes ont fait le choix de profiter du dispositif !

En plus de plusieurs visio-conférences d’information et d’échanges, l’accompagnement a pris diverses formes : coaching individuel, organisation de plus d’une cinquantaine de jurys blancs inter-filières, assistance particulière à la présentation en 10 minutes. 

L’association Ingéchef félicite chaleureusement l’ensemble des lauréats 2020 du concours d’ingénieur en chef et leur souhaite bonne route pour l’année à venir à l’INET !

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Wangari Muta Maathai, la promotion 2019/2020 a choisi son nom

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Les élèves ingénieurs en chef territoriaux de la deuxième promotion ont choisi cette femme kenyanne biologiste et militante politique et écologiste comme nom de promotion. C’est la première femme africaine à recevoir le prix Nobel de la paix pour sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix. Appelés à travailler pour l’intérêt général et notamment l’environnement au sein des collectivités (eau, traitement des déchets, biodiversité…), les élèves ingénieurs affirment ainsi les valeurs de développement durable, d’égalité homme femme et d’ouverture internationale qui seront au cœur de leurs futures responsabilités.

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L’association IngéChef

Assopost

Créée en 2018, Ingéchef est une association qui se compose d’ingénieurs en chef territoriaux, avec chaque année une trentaine de nouveaux élèves formés à l’INET. Il existe aujourd’hui une véritable identité de l’ingénieur en chef, notre association est là pour la représenter.

Par ailleurs, IngéChef est avant tout un réseau d’échanges, pour partager notre expertise, nos expériences, notre regard sur des sujets d’actualités. Cette émulation avec tous, membres de notre association ou acteurs ayant un lien avec les collectivités territoriales, nous la mettons au service de tous, dans une démarche inclusive et fédératrice, afin d’impulser une nouvelle dynamique pour agir, transformer et innover.

Ainsi, notre objectif est de valoriser notre cadre d’emploi par le prisme de notre engagement et de nos actions au sein des collectivités territoriales. Des actions menées dans un objectif ultime d’un service public efficace et de qualité auprès des citoyens. Nous avons tout particulièrement à cœur de montrer notre capacité à agir comme manager des transitions, transition écologique, économique, sociale, numérique ou encore citoyenne.

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Jules Verne, la promotion 2017/2018 a choisi son nom

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Les élèves ingénieurs en chef ont choisi Jules Verne. La toute première promotion d’élèves ingénieurs en chef a choisi d’adopter le nom de cet homme de lettres dont l’œuvre est fondée sur le progrès technologique et l’innovation. Formés pendant un an à l’INET, ces futurs ingénieurs en chef territoriaux œuvreront au sein des collectivités au management stratégique et à l’ingénierie publique territoriale : architecture, infrastructures et réseaux, prévention et gestion des risques, urbanisme, aménagement et paysages, systèmes d’information… Bienvenue à la promotion Jules Verne !

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