22 % des ingénieur·e·s en chef territoriaux occupent des emplois fonctionnels dans les collectivités de plus de 40 000 habitants ou assimilables !

Construire, Valoriser, Transmettre
En France, les Ingénieurs en chef forment un cadre d’emplois des hauts fonctionnaires de la fonction publique territoriale aux côtés des administrateurs territoriaux, des conservateurs de bibliothèques territoriaux et des conservateurs du patrimoine territoriaux.
Le cadre d’emploi des Ingénieurs en chef est l’unique cadre d’emploi technique d’encadrement supérieur de la haute fonction publique territoriale créé par le décret n°2016-200 du 26 février 20161. Il s’agit d’un cadre d’emplois supérieur à caractère technique et scientifique de catégorie A+ au sens du Code Général de la Fonction Publique2 (Articles L412-1 et suivants) modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale.
Le cadre d’emploi compte environ 3600 membres et reste l’un des principaux pourvoyeurs des postes d’encadrement supérieur au sein des collectivités territoriales. Occupant des postes de direction et de direction générale au sein des collectivités territoriales, les Ingénieurs en chef sont des acteurs majeurs de pilotage et de management des politiques du vivre-ensemble au sein des territoires.
Le Cadre d’emploi des ingénieurs en Chef territoriaux comporte trois grades :
– Ingénieur en Chef,
– Ingénieur en Chef Hors Classe,
– Ingénieur Général.
Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ing%C3%A9nieur_en_chef_territorial
🖋 Signature du partenariat entre Dirigeantes & Territoires
et IngéChef pendant le mois de l’égalité !
🙏 Merci à Dayana Chamoun-Fievée, l’ensemble de l’équipe de Dirigeantes & Territoires et Margaux Lebecque pour ce beau partenariat prometteur !
IngéChef continue de s’engager en faveur de lutte contre les inégalités femmes / hommes, et notamment par la démocratisation de l’accès au concours d’ingénieur en chef territorial et la féminisation des admis !
Site internet de Dirigeantes & Territoires : https://lnkd.in/dP4JPuy
Le Club de Strasbourg a été fondé en 2021 par Samuel DUMONS, Frédéric GAUTHERON et François Lenhof de l’Institut national des études territoriales (INET), rejoint par la suite par Juliette Chevée et Quentin Dubuis (INSP – Institut national du service public).
Ce collectif inter-écoles est aujourd’hui animé par Christelle DUMAS.
Il mène des réflexions sur la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques publiques.
En deux ans, de nombreuses actions ont été menées :
En juin 2022, lancement d’une conférence sur l’alimentation durable avec Nicolas Bricas, animée par Laurence CAILLOL et Christelle DUMAS
En janvier 2023, face aux enjeux de la ressource en eau, une conférence a eu lieu avec Emma Haziza et Anne Le Strat, animée par Christelle Jullien, Henri-Joël Gboho et Niels Mariat
Le Club de Strasbourg, c’est également des projections de film suivi d’entretien avec le réalisateur d”Une fois que tu sais”, qui confronte la réalité du changement climatique et l’épuisement des ressources. Cette odyssée transforme notre regard sur nous-même et sur le monde pour mieux construire l’avenir.
En 2022, lors de la semaine de la ruralité, nous avons projeté le film “terrain d’entente” ainsi que des visites du quartier Vauban à Fribourg grâce à Farid Aouaichia et Margaux Lebecque
Le club de Strasbourg est également intervenu lors des entretiens territoriaux de Strasbourg 2022 avec la table ronde “renoncer à son patrimoine ou subir le dérèglement climatique, que faire s’il faut choisir”, animée par Agathe Frochot et Adrien Barbaud
Lien vers le podcast de l’intervention : https://radio.cnfpt.fr/broadcast/6111-Renoncer-%C3%A0-notre-patrimoine-ou-subir-le-d%C3%A9r%C3%A8glement-climatique-que-faire-s%E2%80%99il-faut-choisir
Les 4 filières de l’INET sont pleinement parties prenantes du club de Strasbourg ! Merci aux Elèves Ingénieures et Ingénieurs en chef Territoriaux, Elèves Administratrices et Administrateurs Territoriaux, Élèves conservatrices et conservateurs du patrimoine et Elèves conservateurs territoriaux de bibliothèques
Les actions du Club de Strasbourg sont financées par l’INET et sont ouvertes aux professionnels de la fonction publique ainsi qu’aux écoles partenaires dont l’ENGEES Ecole nationale du génie de l’eau et de l’environnement de Strasbourg et l’INP.
Lien vers l’article sur la fondation du club de Strasbourg : https://ingechef.fr/?p=776
La 5ème promotion des élèves-ingénieurs en chef territoriaux a choisi le nom d’Antoine de Saint-Exupéry pour les représenter. Saint-Exupéry a été mécanicien, écrivain, poète, aviateur, explorateur…
Sa vie et son œuvre sont une invitation au voyage, à la découverte, aux rencontres, au courage, à l’engagement et au dépassement de soi. Son œuvre est particulièrement empreinte du thème de la fidélité à un devoir, son acceptation et de la responsabilité envers la collectivité qui dépassent souvent l’individu et son bonheur personnel.
Son illustre personnage aux cheveux d’or, le Petit Prince, ambassadeur précoce de l’écologie, sensibilisait déjà à la préservation de la terre, des biens communs environnementaux et des liens entre les êtres humains et les autres êtres vivants.
Lien vers le compte linkedin des élèves ingénieurs en chef
Lien vers le recueil des CV de la promotion
Les Saint Exupéry à l’atterrissage 🏁 !
❓ 𝗘𝗹𝗲̀𝘃𝗲𝘀 𝗜𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗻 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗧𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹 : 𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Florence Galais, 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲́𝗲 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 ?
➡ De nature curieuse et adaptable, j’ai travaillé au cours de ma carrière dans des strates de collectivités variées – commune, EPCI, Parc Naturel Régional, Région – ainsi que sur des thématiques diverses – Environnement, eau, développement local, développement économique, patrimoine naturel et bâti, coopération transfrontalière, et plus récemment urbanisme et habitat. Dans une logique de progression professionnelle j’ai passé le concours d’ingénieure en chef en mobilisant deux de mes grandes forces : la persévérance et l’engagement.
❓ 𝗦𝗲𝗹𝗼𝗻 𝘁𝗼𝗶, 𝗾𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮 𝗮𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 ?
➡ J’ai requestionné mes pratiques au fil des interventions sur les outils de management et transformation de l’action publique et je me suis resourcée auprès des collègues de la promotion Antoine de Saint-Exupéry. Cela consolide mon socle de compétences et m’intègre à un réseau de collègues A+ de trois filières pour la suite de ma carrière.
❓ 𝗔 𝗹’𝗮𝘂𝗯𝗲 𝗱𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟯, 𝗾𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝘂𝗻𝗲 𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗶 ?
➡ C’est, parmi les autres membres de la direction, un dépositaire des orientations politiques de la collectivité chargé de les traduire dans les services dont il a la charge. Il mobilise en ce sens son leadership et sa capacité à conduire une co-construction de l’action publique ; il utilise les outils d’un management en phase avec les enjeux actuels tout en favorisant l’adaptation des agents.
❓ 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝗰𝗮𝘂𝘀𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘁𝗲 𝘁𝗶𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗰œ𝘂𝗿 ?
➡ L’égalité des chances
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Les Saint Exupéry à l’atterrissage 🏁 !
𝗘𝗹𝗲̀𝘃𝗲𝘀 𝗜𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗲𝗻 𝗖𝗵𝗲𝗳 𝗧𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹 : 𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Thomas Ricard 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃é à 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 ?
J’ai depuis maintenant un peu plus de 20 ans toujours travaillé et évolué dans différentes Collectivités Territoriales (SDIS, Communauté de Communes, Agglomération, Communauté Urbaine) avec des postes assez variés qui m’ont toujours permis de participer au fonctionnement tout en étant assez proche de l’exécutif.
J’ai fait le choix de bouger dès que j’en avais l’opportunité pour évoluer sur des postes à forte responsabilité tout en passant les concours et examens. C’est donc dans cette esprit et assez naturellement que je me suis présenté au concours A+ d’Ingénieur en Chef.
𝗤𝘂𝗲𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧 ?
Un des points forts de l’INET est que cette formation de plusieurs mois nous donne l’opportunité de prendre un peu de recul et donc d’avoir le temps de se former et de s’intéresser à de nombreux sujets sans la contrainte professionnelle quotidienne.
L’interfilière également est une vraie plus-value. Le partage, la richesse et la diversité des profils des 3 filières (ICT, Administrateurs et Conservateurs ) ont été me concernant tout aussi intéressants et apprenants que la formation proposée par l’INET.
𝗔𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧, 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗺𝗶𝗻 ?
J’ai la chance d’avoir grâce à Monsieur le Maire et aux Directeurs Généraux de Carcassonne pu suivre la formation sans couper complètement avec le fonctionnement de la Ville, ce qui me permet de revenir sur mon poste de Directeur Général des Services. C’est une superbe opportunité !
Cette parenthèse aura, je l’espère, été enrichissante et un plus dans mes missions au quotidien.
𝗨𝗻 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝗵𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 ?
Il faut se lancer et arrêter de s’autocensurer !
Il n’y a vraiment pas assez de candidats alors que la variété des profils chez les lauréats montre qu’en travaillant sérieusement chacun a sa place et a tout à gagner.
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Les Saint Exupéry à l’atterrissage 🏁 !
𝗘𝗜𝗖𝗧 : 𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Christelle DUMAS, 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲́𝗲 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳?
J’ai exercé pendant près de 20 ans sur des fonctions managériales, dans les services techniques, en particulier les bâtiments, au sein des trois strates de collectivités territoriales : au Département en Seine-et-Marne, puis en Commune à Hellemmes, et enfin en Région Nord Pas-de-Calais puis Hauts-de-France.
Consciente que mon expérience professionnelle était essentiellement axée sur le patrimoine bâti des collectivités, j’ai choisi de passer le concours d’ingénieure en chef territorial, afin d’élargir mes horizons en matière de politiques publiques.
𝗦𝗲𝗹𝗼𝗻 𝘁𝗼𝗶, 𝗾𝘂𝗲𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧?
L’alternance entre les périodes de cours et les périodes de stage permet, d’une part de renforcer ses compétences, et d’autre part, de les mettre en œuvre dans les collectivités. Ensuite, c’est toute la richesse des rencontres et du travail en inter filières, du partage de retours d’expériences, et du réseau, qui est un atout majeur de cette année à l’INET. Enfin, cette formation permet de renforcer sa vision stratégique, de prendre du recul et de travailler sur sa posture de cadre dirigeant.
𝗔𝗽𝗿𝗲̀𝘀 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧, 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗺𝗶𝗻 ?
Vous : Aujourd’hui je souhaite revenir au sein du bloc communal, pour être au plus près des élus pour relever les défis de la transition énergétique, écologique, numérique, et sociale, des territoires.
𝗔 𝗹’𝗮𝘂𝗯𝗲 𝗱𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟯, 𝗾𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝘂𝗻 𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗶 ?
L’ingénieur en chef est au service du projet politique. Il travaille sur le pourquoi avant de travailler sur le comment. Il accompagne les élus dans la définition de la stratégie et des objectifs puis met en place l’organisation pour la mise en œuvre opérationnelle du service public. L’ingénieur en chef s’attache aussi à avoir une vision globale du territoire, à réfléchir de manière systémique à l’ensemble des politiques publiques, et à les décloisonner pour faire naître de nouvelles synergies. Enfin, et non des moindres, être ingénieur en chef, c’est manager des équipes : c’est donner du sens, un cadre, et du lien. C’est emmener avec soi les équipes dans les projets. C’est faire grandir ses collaborateurs et faire en sorte que chacun donne le meilleur de lui-même.
Je tiens à remercier l’ensemble des personnes qui m’ont accompagnée dans cette passionnante année à l’INET !
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Les Saint Exupéry à l’atterrissage 🏁 !
𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Julie Mahé, 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲́𝗲 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 ?
Mes expériences professionnelles m’ont permis de toujours créer des liens :
– entre différents territoires par leur valorisation touristique en Dordogne,
– entre le public et le privé en tant que cheffe de service du développement économique et touristique dans l’Oise,
– puis entre les agents et les services d’une collectivité au sein d’une DRH
– enfin entre différentes politiques publiques sur mon poste de secrétaire générale dans un département.
De formation initiale d’ingénieure agronome et après 15 années d’expériences dans les collectivités, j’aspirai à retrouver le pilotage de politiques publiques sur des postes plus stratégiques, en lien direct avec les élus. Passer le concours d’ingénieure en chef territorial était pour moi une évidence.
𝗦𝗲𝗹𝗼𝗻 𝘁𝗼𝗶, 𝗾𝘂’𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗿𝗮 𝗮𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗿 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗶𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 ?
La formation de 12 mois à l’INET a été extrêmement passionnante.
D’abord à travers les formations proposées. Elles sont variées et permettent de répondre à de nombreux enjeux à relever dans les collectivités territoriales.
Ensuite, les 3 stages m’ont permis de découvrir de nouvelles strates de collectivités comme la Rennes Ville et Métropole, mais aussi d’actualiser mes connaissances et compétences en matière d’aménagement du territoire au sein de la Région Nouvelle-Aquitaine.
Mon dernier stage aura comme sujet le développement des énergies renouvelables à la Région Bretagne, sujet d’actualité fort pour de nombreux territoires.
Enfin, les rencontres faites pendant 1 an au gré des formations, des stages, des projets collectifs et avec tous les élèves présents à l’INET, administrateur.rices, ingénieur.e en chef, conservateur.rices de bibliothèques et du patrimoine, ont été riches et me permettent aujourd’hui de bénéficier d’un réseau sur toute la France et dans de multiples domaines d’expertises.
𝗨𝗻 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝗵𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 ?
Osez ! C’est une étape difficile qui demande un grand investissement personnel et de se confronter à ses propres capacités. Mais ça vaut le coup ! Lancez-vous et n’hésitez pas à contacter l’association IngéChef qui est là pour aider et soutenir tous les préparationnaires au concours d’ingénieur en chef territorial.
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Les Saint Exupéry à l’atterrissage 🏁 !
𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Grégory Rochette, 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃é à 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 ?
J’ai commencé ma carrière professionnelle par la voie de l’apprentissage dans le privé à l’âge de 15 ans comme ouvrier électricien. J’ai ensuite poursuivi mes études en alternance pendant quelques années pour devenir responsable de projets.
Par la suite, j’ai intégré la fonction publique territoriale suite à la réussite du concours de technicien comme responsable des services techniques d’une commune. J’ai ensuite évolué dans le bloc communal de responsable de secteur bâtiment et voirie à COMMUNAUTE D’AGGLOMERATION DU PUY-EN-VELAY avec l’obtention du concours d’ingénieur et en me consacrant aussi à la pratique du rugby.
Au fil des mois et après une belle expérience de directeur des services techniques à la commune de COMMUNE DE BRIVES CHARENSAC, j’ai souhaité me présenter au concours d’ingénieur en chef territorial dans la continuité de mon parcours.
𝗔𝘀-𝘁𝘂 𝘂𝗻 𝗳𝗶𝗹 𝗰𝗼𝗻𝗱𝘂𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗶 𝘁’𝗮 𝗴𝘂𝗶𝗱𝗲́ 𝗮̀ 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗼𝗶𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳𝗲́𝗿𝗲𝗻𝘁𝘀 𝘀𝘁𝗮𝗴𝗲𝘀 ?
J’ai pu profiter des stages à l’INET pour découvrir et m’ouvrir à un maximum de collectivités et notamment les strates dans lesquelles je n’avais jamais travaillé.
Mon stage au DEPARTEMENT DE LA LOZERE auprès du DGS, au sein duquel j’ai été très bien accueilli m’a permis de mesurer l’importance du département en zone rurale qui en fait la collectivité de proximité par excellence ainsi que l’importance des politiques de solidarité sociale.
En projet collectif à Saint-Étienne Métropole, j’ai découvert les politiques d’attractivité et de développement économique. Nous avons eu la chance de pouvoir accompagner la mise en place de la feuille de route du pôle alliant accompagnement au changement et management organisationnel en expérimentant les méthodes de Design de service !
𝗘𝘁 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗺𝗼𝘁𝗶𝗼𝗻 ? 𝗤𝘂𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘁-𝗼𝗻 𝗹𝘂𝗶 𝘀𝗼𝘂𝗵𝗮𝗶𝘁𝗲𝗿 ?
Je n’avais pas eu l’occasion dans ma scolarité de connaitre un tel effet de promotion !
En effet, la variété des profils et l’envie de partage des Saint’Ex ont contribué largement à l’acquisition de nouvelles connaissances et au développement de mes compétences.
Les échanges avec les promotions d’administrateurs @Brassens, de conservateurs de bibliothèques @Yourcenar et de patrimoines @Perrot ont été très enrichissants.
Je souhaite à l’ensemble de mes collègues des 4 promotions de s’épanouir pleinement dans leurs futures missions après cette année de formation éprouvante !
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St-Ex à l’atterrissage 🏁 ! Frédéric Duchêne
𝗕𝗼𝗻𝗷𝗼𝘂𝗿 Frédéric, 𝗾𝘂𝗲𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝘁𝗼𝗻 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝗲𝘀-𝘁𝘂 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲́ 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱’𝗶𝗻𝗴𝗲́𝗻𝗶𝗲𝘂𝗿 𝗲𝗻 𝗰𝗵𝗲𝗳 ?
Après Centrale Lille, j’ai débuté dans le Conseil (PwC et Arthur Andersen), avec des missions auprès de grandes entreprises de l’industrie : EDF, Renault, St Gobain, Philips, etc. Cela m’a formé très tôt au fonctionnement et enjeux des organisations. J’en ai tiré l’importance de la transversalité, du travail en équipe, du mode projet, de la conduite du changement…
Je me suis ensuite orienté vers l’urbanisme via le Mastère Aménagement, maîtrise d’ouvrage urbaine (AMUR) des Ponts et Chaussées. J’ai ainsi découvert la Fonction Publique Territoriale et j’ai rapidement été convaincu par les valeurs et l’intérêt du service public et des collectivités. J’ai poursuivi ma carrière à la Région Rhône-Alpes à la Direction des Transports, puis à la Métropole de Lyon à la mission (puis SPL) Part-Dieu, et à la Direction des Mobilités. J’ai notamment piloté le grand projet urbain du PEM Part-Dieu, de la conception aux premiers grands travaux, avec des équipes internes et externes de très grande qualité. Cette expérience a été marquante, vues la complexité et l’imbrication des enjeux, la multitude d’acteurs à impliquer et coordonner : une grande aventure ! En tant que responsable du service « ZFE, aides et conseils mobilité » de la Métropole, j’ai œuvré avec des équipes très engagées, sur des sujets novateurs et très stimulants.
Avec du recul, j’apprécie la diversité des problématiques auxquelles j’ai été confronté (aménagement, mobilité, espaces publics et voiries, immobilier, habitat, transition écologique, foncier, juridique, montage de projets…), au niveau stratégique et au niveau opérationnel, elle incarne la richesse et la complexité propre à la FPT.
Logiquement, j’ai ensuite choisi de passer le concours d’ingénieur en chef territorial, me sentant prêt à rejoindre les collectifs de Direction Générale.
𝗤𝘂𝗲𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁𝘀 𝗳𝗼𝗿𝘁𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝗹’𝗜𝗡𝗘𝗧 ?
Elle consolide d’abord sa motivation et sa confiance dans la capacité à remplir une fonction A+. Elle permet aussi de connaître « l’état de l’art » de tous les sujets importants. L’autre point fort est l’esprit de promotion et les nombreuses rencontres inoubliables.
Entre ingénieurs en chef, et aussi en interfilière avec les conservateurs de bibliothèque, du patrimoine, et les administrateurs. Une véritable effervescence pour une parenthèse bienvenue dans une carrière.
𝗨𝗻 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗰𝗲𝘂𝘅 𝗾𝘂𝗶 𝗵𝗲́𝘀𝗶𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 ?
Lancez-vous dès que vous pensez pouvoir rejoindre des fonctions A+, sans auto-censure, laissez le jury décider ! L’année de formation ensuite est une chance unique à saisir.
Lien vers la publication linkedin : https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:activity:7043881740213391361
Après la sortie du 6ème rapport du GIEC lundi, ce mercredi 22 mars 2023 c’est la journée mondiale de l’eau 💧
La carte ci-dessous de Propluvia et Visactu recensait au 14 mars déjà les 7 départements de métropole avec des arrêté préfectoraux limitant certains usages de l’eau.
🌎 En Guadeloupe la sécheresse précoce a obligé la libération des eaux du barrage de Moreau. C’est une mesure provisoire pour les agriculteurs locaux et menée en concertation entre la Région Guadeloupe et le DEPARTEMENT DE LA GUADELOUPE.
➡ Localement les solutions sont à développer afin lutter contre ces sécheresses hydrologiques précoces qui annoncent une difficile période estivale. Les économies de l’utilisation de l’eau, l’investissement pour diminuer les fuites et l’accompagnement à la transition alimentaire sont nécessaire pour faire face à ces enjeux.
«On ne peut plus se comporter comme si l’eau était une source surabondante et infinie», François Gemenne, co-auteur du 6ème rapport du GIEC.
Aujourd’hui, c’est la sixième fois depuis 1990 que le GIEC publie son rapport.
Validé à l’unanimité de 195 pays du monde, ce rapport témoigne du consensus scientifique actuel. Aucun Etat ne pourra plaider l’ignorance face à la gravité de l’urgence climatique.
En France de multiples initiatives territoriales ont vu le jour :
Création de GIEC régional (GREC, lancé en Région Nouvelle-Aquitaine, puis décliné dans d’autres régions), conférence locale pour le climat (Rennes Ville et Métropole), COP de Métropole Rouen Normandie , Haut Conseil pour le Climat de la Région Bretagne ou les multiples budgets verts.
Les appels à projets de l’UE ont décerné le label Net Zero Cities en mars 2023 à Nantes Métropole et à Dijon métropole.
En 2022, 100 villes en Europe dont Angers Loire Métropole, Bordeaux Métropole, Nantes Métropole, Dijon métropole, Communauté urbaine de Dunkerque, Grenoble-Alpes Métropole, Métropole de Lyon, Métropole Aix-Marseille-Provence et Ville de Paris ont été identifiées.
En outre, le temps n’est plus à la prise de conscience, mais à l’action. De nombreux territoires ont déjà lancé des initiatives. Ils en ont les compétences. Il est peut être maintenant nécessaire d’inclure la transition écologique au sein des politiques publiques, par une vision systémique, en s’appuyant sur des scientifiques de haut de niveau; leurs expertises permettront d’orienter et d’aider à la décision les collectivités territoriales.
Lien vers le 6ème rapport du GIEC :
https://lnkd.in/eVpxNCS
Liens vers des bonnes pratiques territoriales (site de La Gazette des communes) :
🕰 Vous préparez le concours d’ingénieur en chef territorial 2023 ?
Vous suivez une préparation spécifique ou vous avez manqué de peu l’admission en 2022 ?
🎯 L’association IngéChef vous propose gratuitement de vous faire accompagner par un tuteur !
Contactez nous avant le 23 mai 2023 à l’adresse ci-dessous pour que nous vous attribuons un tuteur qualifié !
Période d’inscription au concours externe et interne 2023 : du 11 avril au 12 mai 2023.
Lien vers la plateforme d’inscription : https://www.cnfpt.fr/
Le nombre de postes ouverts aux concours pour le recrutement des ingénieurs en chef territoriaux session 2023,
est de 40, répartis comme suit :
– concours externe : 24 ;
– concours interne : 16.
La période d’ouverture des inscriptions sera : du 11 avril au 12 mai 2023.
Lien vers l’arrêté : https://www.cnfpt.fr/sites/default/files/document/1678088027/arrete-douverture-concours-ingenieur-chef-2023.pdf
Le graphique ci-dessous reprend le nombre d’admis annuellement depuis la création du concours en 2017, ainsi que le nombre de places ouvertes au concours pour 2023. On peut déjà noter une orientation à une ouverture plus large aux profils issus du concours externe pour 2023.
Les graphiques ci-dessous viennent illustrer les barres d’admissibilités et d’admissions des deux concours sur la période 2017-2021. Les rapports de jury sont consultables à l’adresse suivante : https://www.cnfpt.fr/evoluer/preparation-aux-concours-concours-examens-professionnels/decouvrir-differents-types-concours-examens-professionnels/concours-dingenieur-ou-ingenieure-chef-territorial/bilans-statistiques-concours-ingenieur-chef/national
Le concours interne est ouvert aux agents justifiant de 7 ans de service public effectif.
Le décret n° 2016-205 du 26 février 2016 détaille les conditions d’accès et l’organisation du concours d’ingénieur en chef territorial. Il est accessible à l’adresse suivante : https://www.cnfpt.fr/sites/default/files/cich_decret_concours_jo.pdf
Le décret n° 2016-205 du 26 février 2016 détaille les conditions d’accès au concours d’ingénieur en chef territorial. Il est accessible à l’adresse suivante : https://www.cnfpt.fr/sites/default/files/cich_decret_concours_jo.pdf
Concernant le concours externe, les candidats au concours externe doivent être titulaires :
Les pères et mères élevant ou ayant effectivement élevé au moins 3 enfants sont dispensés de toute condition de diplôme.